Reign Of Madness
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Elizabeth Norwood

Lizzie Norwood

Lizzie Norwood

Métier / Rôle : Professeure
Mar 1 Oct - 17:15
NORWOOD ELIZABETH
❝Wicked !❞

Elizabeth Norwood Vava

    ■ Prénom: Elizabeth
    ■ Nom: Norwood
    ■ Surnom(s:) Lizzie
    ■ Âge: 34 ans
    ■ Groupe: Troubles bipolaires
    ■ Orientation: pan
    ■ Poste ou Métier: Professeure de Littérature
    ■ Classe sociale: Riche
    ■ Localisation(s:) /
    ■ Code: Validé


    ■ AVATAR: Feat :  Aradia FROM Aradia or the Gospel of Witches


WHY SO SERIOUS?
❝Would you like some whisky in your cup of tea, Ma'am ?❞


Portrait de famille
 


Elizabeth Norwood est le portrait craché de sa grand-mère et porte sur son visage les traits ancestraux de la famille. Ses cheveux blancs, ses yeux d’un noisette virant à l’orange, ne peuvent que confirmer son appartenance à la noble lignée des Norwoods. Cependant, Lizzie ne possède pas exactement le port attendu d’une lady de son rang. Son visage long et émacié présente les signes d’une hygiène de vie douteuse : sa chevelure est toujours en désordre et la pâleur d’un violet maladif de sa peau montre clairement l’absence d’exposition à l’air extérieur.  Pourtant, Lizzie attache de l’importance à son apparence et se maquille, toujours dans des tons très sombres, pour masquer au possible les défauts de son albinisme : ses sourcils, ses yeux ainsi que ses lèvres sont noircis. Il s’agit pour elle à la fois de se détacher de cette apparence familiale qui lui pèse tant mais aussi de permettre à son visage d’être le plus expressif possible.
Son goût pour le noir ne s’arrête pas à son visage. La garde-robe d’Elizabeth Norwood est principalement composée de longues robes noires. L’attirail parfait d’une respectable professeure. A un détail près : la plupart de ces robes sont à moitié composées de voilure laissant apparaitre un décolleté fourni, plongeant en dessous des limites de la décence. Les seules touches de couleurs résident dans un collier appartenant à sa grand-mère et dans  ce que l’on peut apercevoir des longues stries dorées sur son dos, remontant jusqu’à sa nuque, tatouages marquant son appartenance à la noblesse anglaise.




Doctor Norwood and Madam Lizzie


Elizabeth Norwood est une noble anglaise. En cela, elle aime le thé, qu’elle boit par litre, et la littérature qu’elle consomme bien plus qu’elle ne mange de nourriture solide. Elizabeth Norwood est donc une noble anglaise passionnée. L’euphémisme est grand. Lizzie Norwood est quelqu’un d’obsédé par ses passions. La littérature ainsi que la linguistique sont son terrain de jeu. Apprendre des langues juste pour le plaisir de lire et de découvrir une œuvre originale est quelque chose que Lizzie fait régulièrement.
Elizabeth Norwood est une noble anglaise. En cela, elle sait que montrer ses émotions est contraire à l’étiquette. C’est pour cela que malgré les tempêtes qui traversent son esprit, elle tente toujours de garder la face. Ce n’est que face à ses livres qu’elle exprime son euphorie ou son désespoir. Tout semble Blanc ou Rouge. Neutre ou Intense. Devant ses étudiants ? C’est dans le choix des textes étudiés qu’elle masque son état mental. «Aujourd’hui, nous étudierons Murakami.» Le choix d’un des deux auteurs homonymes dénotera son état.
Elizabeth Norwood est une noble anglaise. En cela, elle vit comme un hobbit. Elle sait faire la fête quand l’occasion s’y prête, boit comme un pirate et aime fumer du bon tabac. Elle, simplement, fait partie de ces nobles fantasques. Euphémisme, encore, il arrive régulièrement que, dans sa joie de faire la fête, elle boive jusqu'au petit matin. Ou bien, jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus tenir debout. Seulement si son humeur s’y prête. Autrement, Lizzie préfère s'enfermer dans son bureau pour faire face à ses démons, seule. Elle y fume suffisamment pour lui rappeler les matins brumeux de son Angleterre natale. Ses livres sont alors les témoins de la rage, puis du gouffre, de l'abysse sans fond qui grandit au creux de son crâne. C'est au moment où Lizzie touche le fond qu'elle trempe sa plume dans l'encre. Ecrire pour survivre.



GET YOUR PEN!
❝It is one thing to mortify curiosity, another to conquer it.❞

Eaux troubles
 


L’histoire d’Elizabeth Norwood commence comme l’un de ces contes de fées kitsch que l’on trouve dans les archives, sous forme de petits livres roses. Née dans une famille noble anglaise, elle grandit dans un cadre privilégié. Ses parents l’aiment. Cependant, elle aurait pu être un garçon, en tant que première née, s’eut été la moindre des choses. Un petit frère suivra de toute façon. Elle est élevée par sa nourrice, un tuteur, et sa grand-mère. Ses parents, proches de la famille royale, ne peuvent se libérer souvent pour la jeune fille. Son tuteur l’initie à la linguistique, la littérature, l’arithmétique. Sa grand-mère l’initie à l’étiquette, la vie en société. La vieille est stricte et malicieuse à la fois. « Sly fox ». Avec elle, Lizzie apprend à survivre dans le monde vicieux de l’aristocratie. Elizabeth apprend mais n’en prend pas passion. Elle préfère lire dans sa chambre.
Lizzie est envoyée dans une prestigieuse pension à l’âge de 11 ans, elle en est renvoyée à l’âge de 14. La lecture de Charlotte Brontë réveille en elle une avide curiosité. Elle est surprise avec une de ses camarades dans les douches. Ce renvoi scandaleux pousse ses parents à la ramener au domaine. Lizzie y retrouve sa tranquillité et ses livres, avec soulagement. Son éducation est reprise par les mêmes protagonistes. Simplement, à l’étiquette, on ajoute des cours de morale. Lizzie poursuit sa formation en littérature et linguistique avec passion. Elle apprend de nouveaux langages et s’intéresse à leurs formes pré apocalyptique pour mieux comprendre les anciens ouvrages mis à sa disposition. Cette passion pousse son tuteur vers la sortie : à 18 ans, il est temps que Lizzie soit instruite à l’université. Elle négocie son entrée à l’université avec ses parents en échange d’une absence de scandale.
Ses parents sont soulagés de la voir s’éloigner du domaine. En effet, c’est lors d’un repas mondain que Lizzie expérimente ses premiers symptômes. D’un coup d’un seul, elle a une intuition, quelque chose de terrible va se produire. Entourée des siens, elle se sent comme la proie d'un invisible prédateur. Ce sentiment lui tord les boyaux. Elle est au centre de l'attention ce soir là : c'est sa cérémonie de passage à l'âge adulte. Un rite durant lequel on tatoue à l'encre doré les armes de la famille. La cérémonie commence : au centre de la pièce, Elizabeth est assise sur une table de tatouage en métal doré et velours bleu, noblesse oblige. Posée sur le ventre, son dos est exposé aux convives, son expression d'effroi est masquée, étouffée dans l'étoffe luxueuse. C'est donc lorsque que l'aiguille touche le dos de Lizzie, que les invités réalisent le drame qui se joue. Lizzie hurle de douleur, elle est en train d'être poignardée. A chaque fois que l'aiguille perce sa peau, son cerveau lui rappelle avec urgence que sa vie est en jeu. Elle se débat avec rage. La sécurité tente de la tenir en place. En vain. A la fin de la cérémonie, Lizzie s'est évanouie. Son dos est lardé de stries dorés, cicatrices de la tentative de marquage.

Les semaines suivantes sont longues, interminables. Lizzie s’emmure dans sa chambre et dans le silence. Elle refuse de s'habiller, de sortir, de manger, de boire. L'abysse devant elle est profond, et, pour la première fois, elle prend conscience du monstre qui l'habite. Tapi au fond, informe, il attend, il observe. Un seul faux pas lui permettrait d'happer définitivement la jeune fille dans la nuit.
Lorsque Lizzie retrouve finalement la force d'ouvrir un livre, c'est avec une insondable boulimie qu'elle relit et redécouvre sa propre collection. Des ouvrages, des langages qu'elle avait fini par oublier, tous remontent à la surface, et avec eux, Elizabeth.
Lorsque la jeune femme sort finalement de sa chambre avec l'idée d'entrer à l'université, sa famille s'en trouve soulagée. Elizabeth entre alors à l'université d'Oxford, sur recommandation de son tuteur. Elle obtient licences, maîtrises, puis un doctorat. Lettres, linguistiques, langues étrangères et anciennes sont sa passion. A 25 ans, elle commence à enseigner en tant qu'assistante. A 28 ans, en tant que professeure. Sa vie sociale est toujours aussi peu brillante. Elle a bien de discrètes relations l'affaire d'une nuit ou deux avec des gens de passages mais cela s'arrête là. En revance, Lizzie boit et cela se sait. Ses humeurs excessives s'alternent au vu et su de tout le monde : paranoïa, puis mélancolie puis enfin euphorie se succèdent. Lorsqu'elle se prend de passion pour le japonais, son père y voit une opportunité de l'éloignée un peu plus : son impossibilité à se comporter comme une lady de son rang nuit au futur politique de son frère. Lord Norwood use donc de ces connaissances pour trouver à sa fille un poste de professeure en littérature à Tokyo. Lizzie accepte docilement, fascinée à l'idée de pouvoir mettre la main sur de nouveaux ouvrages. A 34 ans, c'est en bateau qu'Elizabeth Norwood quitte son Angleterre natale pour le Japon.




I'M OVERBOOKED!

Elizabeth Norwood Sans_titre_1
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Akihide Naomira

Akihide Naomira

Cas Spéciaux Agressif

Ven 4 Oct - 3:10
C'est avec joie que je t'annonce que tu es validée! Amuse toi bien parmi nous et fais attention, je te suis à la trace Elizabeth Norwood 2540283210

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