Reign Of Madness
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Yhsim Kisanagi - I try to escape from Hell, but in vain

Yhsim Kisanagi

Yhsim Kisanagi

Non Infecté

Métier / Rôle : Professeur d'informatique avancé / Hackeur
Dim 6 Oct - 16:00
Yhsim Kisanagi
❝Why bother me ?❞

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    ■ Prénom: Yhsim
    ■ Nom: Kisanagi
    ■ Surnom(s:) Misery, qui est ton pseudonyme de hackeur. A part ça, aucun.
    ■ Âge: 27 ans
    ■ Groupe: Professeur
    ■ Orientation: Homosexuel
    ■ Poste ou Métier: Professeur d’informatique avancé / Hackeur
    ■ Classe sociale: Riche
    ■ Localisation(s:) Variable selon ton humeur
    ■ Code: Validé


    ■ AVATAR: Feat :  Fushimi Saruhiko FROM K (Project)


WHY SO SERIOUS?
❝I’m no one, after all.❞


Description Physique
 


Qui pourrait croire en te voyant aujourd’hui que tu étais né prématuré ? Tu as bien grandi par rapport au bébé frêle que tu étais alors. Tu mesure un mètre quatre-vingt-cinq pour un poids estimé à quatre-vingt-dix kilos, et ce poids ne comporte pas de graisse, juste des muscles bien dessinés. Il faut dire aussi qu’en dépit de ton métier, tu es plutôt sportif, et même si tu n’as pas de sport de prédilection particulier, tu te débrouilles bien dans la totalité des sports.
Ta chevelure est d'une couleur assez particulière, un noir aux reflets bleutés qui te rend unique. Peut-être pas si unique que ça si on prend en compte que quelqu'un d'autre de ton entourage a cette même teinte, mais dans ta famille, tu es le seul ainsi. Tes yeux sont d'un bleu profond, bleu d'un ciel d'été entre jour et nuit.
La majeure partie du temps, tu portes des habits à manches longues. Ce n’est pas une question de préférence, c’est juste que tu ne veux pas que les autres voient ces cicatrices sur tes poignets, ni même les bandages que tu peux mettre pour les dissimuler. Même si ta dernière réelle tentative de suicide remonte à deux ans, tu en gardes encore les traces. Peut-être un jour, elles partiront. Ou peut-être que tu vivras toujours avec. Sans oublier que tu continues à te faire souffrir, à te blesser.
Tu portes constamment des lunettes, que tu ne retires que pour dormir ou pour aller sous la douche. Ce n’est pas une coquetterie, c’est que tu vois mal sans tes lunettes. Si tu ne les as pas sur ton nez, tout autour de toi est flou, et tu serais capable de te perdre en empruntant un chemin que tu connais par cœur. Tu as bien tenté de mettre des lentilles, mais tu ne les supportes pas, ce qui rend impossible toute envie d’aller à la mer... si tu en avais eu un jour l’envie.
Au niveau des couleurs, tu ne portes rien de trop voyant, blanc, noir et bleu roi sont tes couleurs habituelles. Tu peux parfois porter d’autres couleurs, mais rien de très flashy. Il faut bien avouer que tu n’es pas tellement du genre à aimer être remarqué...




Description Mentale


Toutes ces années de souffrance et de solitude t’ont hélas forgé une carapace de méfiance accrue envers toute personne qui tente de se montrer chaleureuse envers toi. Mais dans le même temps, tu souffres de ne pas savoir faire confiance aux autres. Tu en viens souvent à te dévaloriser, alors que certaines personnes peuvent t’apprécier pour qui tu es.
Tu souffres d’un énorme manque d’affection, tu n’as même pas eu droit à l’amour de tes parents. Enfant non désiré, camarade de classe moqué et humilié, tu ne sais pas quel effet cela fait d’apprécier quelqu’un, quel effet cela fait d’être apprécié pour qui tu es. Tu pourrais être classé comme dépressif, mais tu n’en as pas les symptômes malgré tes nombreuses tentatives de suicide. La plus grave remonte à quelques années, juste avant ta... démission.
Mais tout n’est pas noir en toi. Tu as quand même un bon fond. Tu adores les animaux et les plantes, et tu n’hésites jamais à voler au secours des animaux en danger ou abandonnés, peu importe si tu y risques ta vie. Ta maison est un véritable refuge pour animaux mais hélas tu n’as pas de compagnon à toi. Tu rêves d’en avoir un, qui serait ta bouffée d’oxygène... mais tu n’as pas tout à fait le temps de t’occuper d’un animal. Surtout avec ton travail de professeur.
Sans compter qu’en tant que professeur, tu dois garder un œil sur tes élèves. Tu ne voudrais pas qu’un autre vive le même enfer que toi, tout comme tu ne voudrais pas que se reproduise l’incident qui t’a poussé à démissionner... Tu ne sais toujours pas d’où t’est venue la force d’esprit qui t’a poussé à agir ainsi ce jour-là. Peut-être as-tu un léger trouble de la personnalité, dans le fond ? Tu devrais demander une étude en profondeur à ta psychiatre... mais tu n’aimes déjà pas aller la voir, bien que ce soit nécessaire.
Parfois, tu as ce genre de crise. Bien différentes de tes coups de déprime où tu te fais du mal, tu as l’impression qu’il s’agit d’une crise d’hystérie dans laquelle tu rêves de pouvoir tourner cette souffrance en violence envers les autres. Tu sens ces crises arriver, et tu sais que tu dois t’isoler sous peine de blesser quelqu’un... mais cela n’arrive jamais, heureusement. Et tu comptes bien faire en sorte que cela continue ainsi.



GET YOUR PEN!
❝No one cared... No one cares at all.❞

Histoire / Biographie
 


Parfois, tu te demandes pourquoi toi. Pourquoi est-ce que tu as dû vivre tout ça, pourquoi n’avais-tu jamais le droit à cette chose qu’on appelle amour ? Pourquoi est-ce que tout le monde t’a rejeté ainsi ? En quoi étais-tu méprisable ainsi ?

Mais commençons par le commencement. Tes deux parents s’aimaient, du moins, tu le supposes. Tu as cru comprendre que leur amour ne plaisait pas à leurs familles respectives, vu que tu n’as jamais connu tes grands-parents car tout lien avait été coupé. Tes parents vivaient ensemble, dans un appartement un peu trop juste pour deux personnes, et par conséquence trop petit pour trois. Ta mère ignorait ta présence au départ, faisant ce que l’on appelle couramment un déni de grossesse. Et pourtant, tu es venu au monde, un 13 septembre. Enfant prématuré, fragile, poids plume.
Le choc fut terrible pour ta mère. Oh, elle ne chercha pas à te tuer ni à te faire du mal... Simplement, elle ne parvint pas à t’aimer. Elle essaya au début, mais elle ne ressentait rien pour toi. Rien que de l’indifférence, voire même de l’agacement pour le peu que tu pleurais. Ton père ? Il n’était pas mieux. Il n’avait pas souhaité avoir d’enfant, pas si tôt du moins, et il ne t’aimait pas plus qu’elle. Lui non plus ne te faisait pas de mal, simplement, il ne parvenait pas à se réjouir ou à t’apprécier. T’abandonner à une meilleure famille ? Cela aurait fait le jeu de tes grands-parents, du moins c’est ce qu’il disait au début...

Tu avais trois ans lorsque ta mère quitta un jour la maison pour ne plus revenir. Tu la réclamas au début, mais voyant que le simple fait de l’évoquer rendait ton père malheureux, tu choisis de ne plus parler d’elle.
Les enfants sont cruels, tu sais ? De voir que tu rentrais tout seul de l’école, que aucune maman ne venait te voir, ils ont commencé à se moquer de toi. Les lunettes que tu as dû bien vite porter en raison de problèmes de vue n’ont fait qu’ajouter d’autres moqueries. On te bousculait sans ménagement, on te volait tes affaires, on brisait tes lunettes. Les professeurs ne faisaient pas grand-chose pour te venir en aide, aveugles ou prétendant qu’il s’agissait de jeux d’enfants. Au collège, rien ne s’est arrangé. Tu as même été victime de fausses lettres d’amour, te retrouvant à attendre seul durant des heures sans que personne ne vienne, ou alors te retrouvant entouré par tout le monde qui se moquait de toi.

Vers tes 14 ans cependant, un événement vint changer quelque peu ta vie. Pour la première fois depuis des années, tu avais reçu un cadeau pour ton anniversaire. Un ordinateur. Ton tout premier. Ton père l’installa dans ta chambre et tu pris rapidement tes repères sur cette nouvelle machine. Mieux : tu te découvris un véritable talent avec l’informatique. Fier de toi, tu descendis en trombe pour demander à ton père de venir voir... sauf que tu remarquas qu’il s’était installé comme à son habitude devant la télévision avec de l’alcool. C’était juste une façon de se débarrasser de toi. C’est à cet âge que tu as fait ta première tentative de suicide, suivie de bien d’autres au fil des ans.
Au lycée, tu choisis de poursuivre des études d’informatique, que tu bouclas rapidement tant tu étais doué. Les autres élèves étaient jaloux de ta réussite et continuaient à se moquer de toi, mais tu avais hélas l’habitude. Sauf que cette fois, tu avais de quoi te venger sur eux. Tes talents en informatique leur étaient bien utiles pour réparer leurs ordinateurs piratés... si on mettait de côté le fait que c’était toi qui les avais piratés.

Tu devins rapidement un hackeur connu sous le pseudonyme de Misery. Mais tu ne pouvais pas rester seulement un hackeur, il te fallait un métier stable... Tu choisis de suivre un cursus accéléré afin de devenir professeur d’informatique, te disant qu’ainsi, tu pourrais remarquer les élèves se trouvant dans la même situation de harcèlement que celle que tu avais vécue. Cependant, il t’était difficile de devoir faire face à des foules d’élèves parfois ignares...
Bien que le pire fut lors de ta vingt-quatrième année. Cette année-là, tu avais réussi à retrouver la trace de ta mère, et tu voulais la rencontrer. Sans la prévenir, tu t’étais rendu chez elle et tu avais sonné à sa porte. Tu voulais juste discuter, tu voulais juste comprendre... Mais sa réaction n’était pas celle que tu avais escomptée.

« Qu’est-ce que tu me veux ?! Si tu es venu pour de l’argent, tiens, prends ça ! Prends l’argent et va-t’en ! Laisse-moi en paix !! Je ne veux plus te voir, disparais de ma vie ! »

Ton moral, qui n’était déjà pas très haut, en prit un violent coup. C’était ainsi qu’elle te voyait ? Comme un parasite venu lui réclamer de l’argent ? Tu n’avais même pas eu le temps de t’expliquer... mais après tout, personne ne t’avait jamais laissé ta chance.
Quelques jours plus tard, tu ne t’étais toujours pas remis de cette claque mentale, mais tu étais tenu d’assister à un conseil de classe. Tu savais que l’un de tes élèves était victime de harcèlement, et tu t’étais juré d’évoquer son cas dès que possible. Lors de ce conseil de classe, tu attendis que l’un de tes collègues daigne parler de cet élève, sauf que personne ne le fit. Tu pris la parole, t’attendant à une quelconque réaction... La réponse qui te fut adressée te déplut fortement.

« Je ne vois pas où est le problème. Ce ne sont que des jeux d’enfants, rien de plus... »

Des jeux d’enfants, ces mêmes mots que tu avais entendu durant ton enfance. Tu te levas et saisis le directeur par le bras sans dire un mot, l’entraînant jusqu’en haut des escaliers. Tes collègues tentèrent de t’arrêter, mais le regard que tu leur lanças leur fit comprendre qu’ils seraient les prochains s’ils essayaient d’arrêter. Tu tenais le directeur par le poignet, le regard empli d’une sombre détermination.

« Des jeux d’enfants ?! C’est ainsi que vous voyez la situation ?! Cet élève est harcelé, humilié, frappé, et vous appelez ça un jeu d’enfant ?! Que pensez-vous de ce jeu, alors ?! »

Tu ne l’avais pas choisi par hasard, son fils faisait partie de la bande qui harcelait l’autre élève. Sans aucun remords, tu le jetas dans les escaliers, fou de rage mais le cœur en morceaux. Tu ne voulais pas en arriver là. Ils t’avaient poussé à bout. Des années de souffrance, des mois à essayer d’ouvrir les yeux aux autres pour qu’ils te ressortent en fin de compte ces mêmes mots que tu avais beaucoup trop entendus... Tu t’enfuis rapidement après cet acte. Un de tes collègues te retrouva plus tard, inconscient, dans un coin isolé. Tu passas de longues semaines entre la vie et la mort, puis de longs mois en « rééducation psychiatrique » comme ta psy s’amuse parfois à appeler ça.

Tu pensais sincèrement que tu n’arriverais jamais à retrouver un travail, du moins pas dans l’éducation après ton coup de sang... Et pourtant, tu as entendu parler d’un établissement particulier où riches et pauvres, sains et fous, se côtoieraient. Sans réel espoir, tu as déposé ta candidature en tant que professeur d’informatique avancé. Et tu as été admis. Bizarrement, ton coup de sang ne les a pas intimidés. De même que ta nature dépressive liée à ton manque cruel d’affection ne les repousse pas. Tu ignores ce que l’avenir te réserve dans cet endroit, mais tu le découvriras bien vite...
Tout comme tu ignores que deux personnes de ton ancien établissement t’ont suivi ici. Un collègue et le dit élève harceleur... Pour quel motif ?





I'M OVERBOOKED!

Yhsim Kisanagi - I try to escape from Hell, but in vain Fiche210

    ✜ Pseudo: Je suis Yubel, ou Louloutre, mais vous pouvez m’appeler Mishy !
    ✜ Age: 28 ans
    ✜ Sexe: Je suis une fille, et oui je joue des mecs ewe
    ✜ Suggestion: Rien à suggérer, c’est juste parfait !
    ✜ Comment avez-vous connu le forum ?: C’est mon deuxième perso XD
    ✜ Plus: Faim .w.
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Kiara Daikite

Kiara Daikite

Infecté Passif

Métier / Rôle : Etudiante
Dim 6 Oct - 16:56
J'ai le doux plaisir de te valider ce joli petit compte secondaire. Tu es donc certainement habitué maintenant mais voilà quelques petits rappels de tes devoirs administratifs avant de lancer un rp ;).

Amuse-toi bien  Yhsim Kisanagi - I try to escape from Hell, but in vain 3533262464

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